Cinéma - Vos goûts, recommandations et découvertes

Le dernier Audrey Tautou est arrivé ! "Hors de prix" avec Gad Elmaleh.

chui vraiment pas fan d'Audrey Tautou....Mais pour Gad je pourrais y aller !

Hier soir j'ai regarder le film "Holidays" avec Kate Winslet, Jude Law (qui est terriblement sexy et irrésistible), Cameron Diaz et Jack Black.

Je vous le recommande à toutes vous passerez un excellent moment !
C'est un petite comédie romantique qui fait du bien au coeur et à l'âme !

Bon voici ce que je pense du film "Match Point" ...

Premièrement c'est totalement prévisible ... soit j'écoute trop de film soit je lis dans les pensées de Woody Allen, mais je savais qu'il allait se débarassez d'elle d'une façon ou d'une autre et qu'il reprendrait sa petite vie comme avant !

C'est vraiment un film qui traite du fait que même si on est hyper malheureux on est prêt a tout pour avoir une situation, de l'argent et une sécurité.

Toutefois je dois avouer que moi aussi ya longtemps que je l'aurais tromper cette femme qu'elle ennuie !!!

Et mon chéri il est trop beau

Cependant je dois avouer que j'étais soulager de ne pas voir Woody dans le film !!!!

Ah ben moi... c'est tout à fait le contraire.. j'aurai pensé qu'il ira avec Scarlett mais se ferait choper à un moment ou un autre...

bon ben merci....au moins je le regarderais pas puisque vous avez tout raconté....la loose les filles serieux

Tu ne perds pas grand-chose tu sais

ouais ben au moins je n'aurai pas a me poser la question

Désoler je croyais que tu l'avais déjà vue

«Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street»: voyez la bande-annonce

La première bande-annonce de « Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street», la nouvelle réalisation de Tim Burton, vient de faire son apparition sur la Toile.

Cette adaptation cinématographique d'une pièce musicale de Stephen Sondheim met en vedette l'acteur Johnny Depp dans le rôle-titre soit celui d'un homme injustement envoyé en prison qui désire se venger, non seulement pour la peine cruelle qu'il s'est vu infliger mais aussi pour les terribles conséquences qui ont affecté sa femme et sa fille. Lorsqu'il sort de prison, il rouvre sa boutique de barbier et réserve un sort plutôt macabre à ses clients en leur tranchant la gorge et en se débarrassant de leurs cadavres avec la complicité de sa maîtresse (Helena Bonham Carter) qui en farcit les pâtés à la viande qu'elle vend dans sa boutique.

La distribution est également composée d'Alan Rickman, Timothy Spall, Jamie Campbell Bower, Jayne Wisener et Sacha Baron Cohen.

«Sweeney Todd» marque la sixième collaboration entre l'acteur et le réalisateur. Les deux ont travaillé auparavant ensemble sur les films «Charlie and the Chocolate Factory, «Tim Burton's Corpse Bride», «Ed Wood», «Edward Scissorhands» et «Sleepy Hollow».

« Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street» doit sortir sur les écrans nord-américains le 21 décembre prochain.

http://movies.yahoo.com/movie/1809834155/video/4367764/standardformat

Ce we je suis tomber sur une nouvelle adaptation du roman "Le Docteur Jivago" de Boris Pasternak. Je connaissait le légendaire film avec Omar Sharif et Julie Christie, mais cette fois ils ont tournés l'histoire en série téléviser et l'actrice qui joue Larissa Antipova n'est nulle autre que notre Keira alias Louise !

J'en suis qu'au premier épisode donc je vous en reparlerai !

Ah ben je savais pas qu'elle jouait cette série

Selon IMDB elle aura tourner la série en 2002 avant le premier "Pirate des Caraïbes"

ca a mis du temps a sortir...

C'est jamais sorti au cinéma c'est une télésérie

"Journal d'une Nanny"

Film amusant où on a envie d'étrangler la mère du petit !

"P.S : I love you". Sortez vos mouchoirs !!!!!

Les fantômes de Goya

Citation :

A la fin du XVIIIe siècle, alors que le royaume d’Espagne subit les derniers sursauts de l’Inquisition et que les guerres napoléoniennes bouleversent l’Europe, le frère Lorenzo, impitoyable inquisiteur, s’en prend à Inès, la muse du peintre Francisco Goya. Abusivement accusée d’hérésie, Inès se retrouve emprisonnée. Pour Goya, c’est le début d’une période qui changera sa vie et son œuvre à jamais...

Citation :

Milos Forman aime espacer ses tournages. Sept années de silence entre le beau Man on the Moon et Les Fantômes de Goya n’ont rien de surprenant pour celui qui s’est spécialisé dans les biographies à l’écran (Amadeus, Larry Flynt). Depuis le début des années soixante-dix où il est parti tourner avec ou pour Hollywood, tout juste dix films. Chez certains un tel rythme témoigne parfois d’une grandeur d’œuvre, une forme d’investissement dans chaque projet, chez Forman c’est plus inégal. Les Fantômes de Goya se situe justement du mauvais côté, on peut même ajouter qu’il s’agit sans doute de son film le plus faible depuis qu’il a quitté son pays. Voire un de ses plus mauvais.

Le film couvre la période allant de la fin du XVIIIe, avec l’Inquisition espagnole, jusqu’au retour de Ferdinand VII en passant par les fracas de la Révolution française et la guerre d’Espagne menée par l’armée napoléonienne. Une époque riche de changements, de violence et de nouvelles perspectives dont Goya est le témoin. A travers trois personnages, le peintre, un prêtre, et la fille d’un riche marchand accusée puis enfermée à tort par l’église, Forman et Carrière imaginent un récit fait de destins croisés. Chaque personnage incarne à la fois la complexité de l’époque et sa manière de survivre ou de s’y perdre. Goya est montré comme un lâche, intéressé par l’argent et soucieux d’éviter chaque conflit, pliant devant l’autorité au détriment de ses affinités. Le prêtre est un opportuniste, après avoir profité de la fille du marchand en prison et s’être fait humilier par son père, il fuit les ordres et rejoint la Révolution française. La fille est la pure victime, condamnée à être souillée et anéantie, elle devient folle et ne connaîtra jamais l’enfant qu’elle a eu du prêtre. C’est le personnage le plus tragique, et tous sont liés.

On reconnaît là les préoccupations de Jean-Claude Carrière (co-scénariste), la perversité de l’église Catholique, l’ironie des situations, la richesse d’un contexte historique, l’ambiguïté morale. L’ensemble étant décrit avec une précision presque scolaire et appliquée, une forme d’articulation réfléchie et littéraire où rien n’est laissé au hasard, où tout appelle au commentaire, la description, une analyse froide des comportements. Au-delà de l’intérêt historique, relatif quoique documenté, Les Fantômes de Goya cherche donc à explorer différents mouvements ou facettes d’une période avec un certain romanesque. Il tente aussi d’ajouter une dimension intéressante mais totalement inexploitée, le rapport aux images, leur pouvoir et leur prolifération. Par les gravures à l’eau-forte de Goya et la manière dont celles-ci voyagent de par le monde, le film essaie d’introduire une certaine modernité cohabitant avec son époque. Une idée qui malheureusement ouvre le film (les dessins sont jugés par l’église), mais que Forman et Carrière abandonnent rapidement.

Ce qui finalement rend le film plutôt anecdotique c’est que tout ici ne dépasse jamais le cadre d’un certain académisme. Malgré les contorsions du récit, l’ambiguïté des personnages, le regard réaliste sur l’époque et la manière dont chacun est soumis aux évènements, Forman est incapable d’éviter la platitude. La peinture n’est jamais filmée comme acte ou représentation, à peine est-elle soulignée comme un écho de ce monde. Le peintre n’est qu’un acteur de l’histoire parmi d’autres, on peut très bien imaginer un remplaçant. Le prêtre, qu’un salaud de plus et la fille une victime à qui on ne laisse pas la moindre chance d’exister. Pourtant Forman et Carrière s’épuisent à donner profondeur et éloquence à leur récit. En vain. Au pire le film épouse la caricature ou le ridicule (le retour de Natalie Portman en zombie). Il cherche la précision, les entrelacements, une intrigue complexe aux raisonnements multiples, mais ne résonne qu’un développement morne filmé avec autant d’ambition formelle qu’un téléfilm sans distinction. Le sujet est pourtant riche et ambitieux, les idées parfois présentes, mais aucune n’est réellement traitée avec la mesure nécessaire. Le seul fantôme ici, serait plutôt celui du film.

Bizzarre !!!!!!
Et quel rôle pour Natalie c'est a peine si on la reconnaît !!!

Magnifique film j'ai adoré mais faut pas être suicidaire il est tellement triste et bizarre que vous vous sentez bizarre quand vous ressortez.... enfin avis perso mais c'es ce que j'ai ressenti et mes 2 copines aussi...